Et si on en parlait un peu ?
Alors après une crise bien ardue, la côte d’ivoire est l’un
des pays rare qui tant bien que mal se relève sans qu’on ne sent surtout pas la
totalité du pays, l’effet de la crise. Comme tout pays africain, la société civil est le laissé pour contre, la victime de la crise.
Alors parlant de victime, oui on en trouve partout et de tout situation. Mais ce
dont on pleure le plus, est LA VIE CHÈRE, LE PANIER DE LA MÉNAGÈRE. Nous société civil nous croyons que si ce
point est relevé, les autres situations seront
faciles et je dirais même très facile à résoudre. Dans ce sens ou un adage dit ventre affamé n’à point d’oreille. Et si le ventre est rassasié,
son oreille est tendue à écouter, à comprendre et à exécuter.